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  VEF Blog

Frisson d'horreur

posté le 09-11-2013 à 10:19:07

Le psycopathe de la foret

 


 
 
posté le 19-07-2013 à 11:37:17

feu feu jolie feu

C'est 6 amis (3 gars, 3 filles) qui s'en vont en camping dans le fin fond d'une forêt. C'est la nuit et ils s'installent autour d'un feu. Tout d'un coup, ils entendent "Feu feu joli feu que ton âme disparaisse" et ils s'aperçoivent qu'un des six manquent. Ils pensent qu'il est seulement parti aux toilettes et ils continuent à se raconter des histoires d'horreur. Soudain, ils entendent encore "Feu feu joli feu que ton âme disparaisse" et ils s'aperçoivent qu'une autre personne manque à l'appel. Ils commencent à se poser des questions mais ils continuent leurs histoires d'horreur. Ils entendent une autre fois "Feu feu joli feu que ton âme disparaisse" et un cri. Là ils commencent à avoir sérieusement peur parce qu'ils ne sont plus que 3. Ils entendent à nouveau "Feu feu joli feu que ton âme disparaisse" et un autre cri. Ils ne sont plus que deux et ils décident de ne plus se quitter. Encore une fois, "Feu feu joli feu que ton âme disparaisse" se fait entendre et une fille se retrouve alors toute seule. Elle commence à capoter et puis, elle entend "Feu feu joli feu que ton âme disparaisse" et elle disparaît. Le lendemain, on lit dans le journal 6 jeunes partis faire du camping manquent à l'appel. Lorsque la police va enquêter sur les lieux, elle y découvre 6 corps décapités. Puis, ils entendent "Feu feu joli feu que ton âme disparaisse" et un fou fonce sur eux avec un couteau. 

 


 
 
posté le 14-07-2013 à 10:51:54

ça attend que j'éteingne

ça attend que j'éteigne

(elle est longue mais génial)

Marie,     S’il te plait, je t’en supplie Marie, lis les mots qui vont suivre. Je n’ai pas arrêté d’essayer de t’appeler cette après-midi : tu ne m’as même pas laissé le temps de m’expliquer ! Comme tu as dû débrancher ton téléphone (vu que tu ne réponds plus du tout), j’ai décidé de t’envoyer cette lettre. Je t’écris depuis la chambre de l’hôpital psychiatrique où l’on m’a interné aujourd’hui. Ca ne va pas du tout pour moi, il faut que tu m’écoutes, s’il te plait ne jette pas cette lettre avant d’avoir fini de la lire.     Si cette lettre est écrite au crayon-feutre c’est parce que les médecins ne veulent pas me donner de crayon à bille ou à plume : ils ont peur que je me fasse du mal avec. Ils n’arrêtent pas de dire que je me suis automutilé cette nuit chez moi, mais ça n’est pas vrai ! ils ne croient pas ce que je leur dis ! Il y a un quart d’heure ils m’ont coupé les ongles tellement courts que ça a saigné un peu : Ils disent que comme ça je ne pourrais pas m’infliger de griffures et d’écorchures supplémentaires. Le psychiatre à l’air de dire que je vis mal notre séparation, mais qu’est ce qu’il en sait !     Je ne veux pas rester ici. D’accord je ne vais pas vraiment bien, mais je suis sûr que je ne suis pas fou ! et qui à part toi pourrait m’aider à me faire sortir de là ? Tu es ma famille la plus proche depuis que mes parents sont décédés. Ça peut paraître un peu sordide ce que je vais te dire, mais tant qu’on a pas divorcé, s’il y a bien quelqu’un qui pourrait faire des démarches pour me sortir de là, c’est bien toi. Ecoutes, si tu ne le fais pas par souvenir de nous deux, alors fais moi sortir d’ici et je signe tout de suite les papiers du divorce. Ca va presque faire un mois maintenant que tu attends ça, hein ? Si tu me fais sortir de là, je les signe sur le champ.     Je ne veux pas continuer à dégringoler comme ça : Si ça continue, si je ne retourne pas travailler, je vais en plus perdre mon boulot ! Déjà que ce mois-ci je n’y suis presque pas allé à cause de tout ça et du reste : En effet ces derniers temps il n’y a pas eu que notre séparation qui a été difficile, j’ai eu d’autres problèmes. Ca n’est pas évident à expliquer, et je ne sais pas comment te dire tout ce qui m’est arrivé, déjà que ces cons de toubibs ne veulent pas me croire, je me demande vraiment si tu me prendras aussi pour un fou, mais de toute façon au point où j’en suis...     Bon, depuis le début du mois, après le week-end de la toussaint, enfin disons plutôt suite à notre ultime dispute, j’ai fini par dégotter un petit appartement après deux nuits d’hôtels : il était assez pourri, mais je pouvais le louer tout de suite. Puis j’ai donc pris mon jeudi pour venir chercher mes affaires : Excuse moi, mais à ce moment-là tu étais obligé d’être aussi désagréable avec moi ? Tu savais que je passais, alors tu as vraiment fais exprès d’avoir déjà quelqu’un d’autre à la maison ? Tu étais vraiment si pressée d’enterrer nos dix-huit ans de mariage ? Je ne te demandes pas non plus d’être éplorée et habillée en noir, mais là quand même... Tu ne peux pas savoir à quel point j’ai souffert toute la nuit qui suivit, j’étais anéanti. Le lendemain, je suis allé travailler, mais j’ai été voir Fred pour lui demander deux semaines de vacances : Je me sentais beaucoup trop mal pour pouvoir travailler, avec tout ça j’avais besoin de me mettre au vert et de m’aérer l’esprit. Bah ! tu connais un peu Frédéric, je t’en ai déjà parlé, il est souvent assez chiant pour accorder les congés, mais j’ai fini par le faire céder. Donc arrivé le vendredi soir je me retrouvais avec deux semaines de repos, j’avais trouvé une maison de vacances à louer dans un petit village près d’Albertville, en Savoie. Le lendemain midi je suis parti là-bas.     Les tout premiers jours se passèrent bien, l’air de la campagne, le calme, loin de la ville : tout cela m’aidait à faire le point, et à mieux supporter la situation. Je passais mes journées à me promener dans la montagne, le soir j’allais dans le bistrot du bourg du village, et je me saoulais un petit peu avant de rentrer me coucher : je n’arrêtais pas malgré tout de ressasser le passé, de penser à nous.     Durant la nuit du lundi au mardi je me suis réveillé en sursaut, j’ai poussé un cri tellement j’ai eu peur. Pendant mon sommeil j’ai eu l’impression qu’on me grattait sur le dessus de là tête, j’étais sûr qu’on m’avait gratté dans les cheveux. La sensation qui m’avait tiré du sommeil paraissait réelle, mais quand j’ai allumé la lumière, je n’ai rien vu, il n’y avait personne. Je suis resté un bon quart d’heure, lumière allumée, allongé dans mon lit à regarder au plafond avant de me décider à me rendormir. Sur le moment je me suis juste dis que ma dépression me faisait des tours... je le croyais, mais plus maintenant.     Deux nuits plus tard je me suis réveillé en hurlant en plein milieu de la nuit pour la même raison : Je sentais qu’on me grattait sur le dessus du crâne. Je suis resté assis sur mon lit quelques minutes, je n’arrêtais pas de me dire que je perdais la boule. J’ai fini par allumer la télé et je me suis endormi devant. Au matin, les dessins animés pour enfant m’ont tiré du sommeil. A mon réveil, je me suis dit qu’il valait mieux que je ne consomme plus du tout d’alcools, fort de cette décision, je passai une bonne journée.     Tu n’as sûrement pas peur dans le noir, non ? Je dois dire que moi aussi, cela faisait partie des peurs d’enfants qui m’avaient quittées avec le temps. Mais à cause de la nuit précédente, le soir arrivé, je n’avais pas trop envie d’aller me coucher. Il est vrai que j’avais envie de boire un peu, c’est vrai, mais j’avais surtout un peu peur. Une fois allongé, lumière éteinte, je me suis blotti dans les couvertures, je gardais les yeux bien clos, on aurait sûrement dit un enfant de cinq ans ! Je finis par m’endormir, mais d’un sommeil léger, sûrement à cause de la peur, et elle m’a été salvatrice : C’est sûrement à cause de cette crainte que je dormis d’un sommeil agité, et que je me suis réveillé plusieurs fois au milieu de la nuit. Ce devait être la troisième fois de la nuit que j’ouvrais l’œil : tout était plongé dans l’obscurité, on ne discernait qu’un léger trait de lumière à la jonction des volets qui laissaient filtrer un peu de la clarté de la lune du dehors. Au début, à moitié endormi, j’ai pensé que je devais être un peu pris à la gorge et que le son que j’entendais devait être le râle de ma respiration. Mais je respirais très bien, et plus qu’un râle j’entendais à présent clairement le son, non pas d’un râle, mais d’un grognement, comme celui d’un chien prêt à attaquer. Il provenait d’à côté de la porte de la chambre. Je me blottis encore plus fort dans mes couvertures : j’avais peur de bouger. Le grognement s’intensifia. Pris alors de panique, dans un mouvement incontrôlé je projetai ma main sur l’interrupteur de ma lumière de chevet, et allumais : Le grognement s’arrêta aussitôt, il n’y avait rien dans la chambre. J’ai gardé les lumières allumées toute la nuit.     Il me fallut attendre jusqu’au petit matin avant de trouver le sommeil. J’ai dormi jusqu’en début d’après-midi, puis je suis allé au bistrot du coin : On était le samedi et il y avait un match de foot qui passait à la télé, du coup il y avait du monde et ça me rassurait d’entendre le brouhaha tout autour de moi : je me sentais en sécurité. Je me suis mis à boire, jusqu’au milieu de la nuit. Arrivé à la maison, même saoul, je ne me sentais pas très rassuré, je laissais les lumières de la chambre allumées avant de m’écrouler sur le lit. Le lendemain j’ai passé une bonne partie du dimanche à récupérer de ma gueule de bois, mais je me sentais, malgré cela, un peu plus serin : Il n’y avait rien eu de bizarre pendant la nuit.     Le soir venu je me suis endormi avec la lumière allumée, j’étais rassuré par la lumière : J’avais l’impression de retourner en enfance, mais entre laisser les lumières allumées et ne pas dormir, mon choix avait été vite fait.     Je me suis réveillé dans mon lit en hurlant, une douleur atroce au torse. J’étais plaqué sur le dos, on m’écrasait le ventre. La pièce était plongée dans le noir : La lumière, je ne savais comment, était éteinte. J’ai hurlé… oh ! ce que j’ai hurlé ! de douleur surtout, mais aussi d’effroi. Ce qui était sur moi hurlait aussi, enfin, plutôt  émettait une espèce de « gggGGGoooOOOO » guttural, grave et puissant, rien que d’y penser, j’en ai des frissons. Je ne voyais rien, juste une ombre aux contours indéfinis au-dessus de moi. J’ai tendu le bras et essayé plusieurs fois d’allumer la lampe de chevet, mais sans résultat. Ensuite je ne sais pas comment j’ai fait pour me dégager, sûrement que la poussée d’adrénaline n’y a pas été pour rien, mais j’ai réussi à m’échapper de l’étreinte. J’ai couru hors de la chambre, ce qui était maintenant derrière moi s’est mis à hurler encore plus fort. Ce truc m’a poursuivi, je l’entendais juste derrière moi. Au moment où j’ai allumé la lumière, ça hurla, le cri fut déchirant, comme le hurlement d’une femme qui se fait agresser. Le temps que je fasse volte-face, le cri avait cessé et il n’y avait plus rien derrière moi.     Comment te décrire l’état dans lequel je me trouvais après cela : Tu t’es déjà réveillé en sueur, parfois en hurlant après un cauchemar terrifiant, puis d’un coup tu réalises que tu es au chaud, en sécurité dans ton lit ? Eh bien là c’était l’inverse, je me croyais au calme, en sécurité, et je me suis fait agresser : j’étais complètement terrifié, il n’y avait plus de lumière et je ne voyais donc rien quand c’était arrivé, et ce... cette chose me labourait le torse. Quand c’est parti je suis resté dans le couloir, la main sur l’interrupteur. Je suis resté comme ça jusqu’au petit matin, je ne voulais plus bouger, je ne pouvais plus dormir : j’avais trop peur.     Je suis retourné dans la chambre à la lumière du jour : j’ai compris pourquoi la lumière était éteinte quand c’était arrivé : La maison datait pas mal, et les fils électriques ne passaient pas par les murs, mais le long de la plinthe : Ils avaient été déchiquetés juste avant l’entrée dans la chambre.     On était le lundi, j’avais encore devant moi un peu moins d’une semaine de location de la petite maison de vacances, mais je ne voulais plus rester là. Franchement je ne savais pas ce qu’il y avait de bizarre dans ce village, mais je n’aurais pas voulu aller mener l’enquête auprès des habitants : Ils m’auraient sûrement cru fou, et je ne serais de toute façon pas resté une nuit de plus dans ce patelin.     J’ai repris le bus puis le train le jour même : Plus je m’éloignais, mieux je me sentais : Toutes ces choses avaient eu lieu là-bas, et en partant je les laissaient derrière moi. Franchement je ne cherchais plus trop à savoir si j’étais fou ou si c’était vrai : j’avais peur, et je voulais retrouver ma sécurité et ma sérénité. Au moins l’avantage était que notre rupture me tracassait du coup beaucoup moins : Un souci en chasse un autre finalement !     Mais deux nuits plus tard ça à repris : Je commençais tout juste à penser à autre chose, que ça reprenait. Je m’étais réveillé de nouveau à cause du grognement près de moi dans mon lit : Là encore complètement paniqué j’ai allumé la lumière, et tout c’est arrêté. J’avais peur, mais ce qui me rendait malade était que je n’avais pas pensé que ça m’aurait poursuivi.     On était le mercredi et j’étais donc toujours en vacances, ça valait mieux car je ne devais pas être beau à voir : Je n’avais pas dormi de tout le reste de la nuit, j’avais bu tout ce qui me restait de whisky, je restais juste assis sur le bord de mon matelas à me demander désespérément ce que je pouvais faire, et à qui je pourrais demander de l’aide. Plus j’y pensais et plus je pouvais constater que j’étais vraiment seul, je ne voyais personne en qui j’avais assez confiance pour lui déballer tous ces trucs de dingues. A part toi et les enfants j’ai vraiment l’impression que je n’ai plus grand monde que je connaisse bien et sur qui je puisse compter.     Pour la nuit suivante j’ai rallumé les lumières dans ma chambre, j’avais bien vérifié que le fil passait dans le mur, mais c’est le cas pour toutes les constructions d’aujourd’hui. J’avais vraiment peur de la nuit qui allait venir, je ne savais plus trop quoi faire, au final pour me rassurer un peu plus, j’ai scotché les interrupteurs dans ma chambre à grosses doses de chatterton.     Durant la nuit je dormis par intermittence, à penser et à ressasser sans fin ce qui m’arrivait. Vers les trois heures du matin, j’eus envie d’uriner : Je me levais, ouvris la porte de ma chambre, entrai dans le couloir. Mon sang se glaça quand j’entendis le rugissement sourd sur ma droite, j’eus à peine le temps de bouger qu’une douleur fulgurante me fit hurler. Je bondis sur l’interrupteur, la lumière s’alluma, le même cri aigu de la dernière nuit dans la maison de campagne résonna, puis plus rien. Je suis resté assis sur le sol, adossé au mur, ma cuisse saignant lentement par la longue plaie que ça m’avait infligée. J’avais vraiment mal, et je me sentais complètement abasourdi par cette agression foudroyante que je venais de subir. Je me suis dit que les gens qui se font agresser dans la rue devaient ressentir un sentiment de dénuement avoisinant. Au bout de dix minutes je me suis décidé à aller dans la salle de bain pour soigner ma blessure.     Disons que si les jours précédents je doutais encore que ça craignait la lumière, j’en étais complètement sûr après cette nuit-là : La lumière n’était allumée que dans ma chambre quand c’était arrivé. J’en ai déduit que ça m’avait attendu juste en dehors, je ne l’avais vraiment pas vu venir quand ça m’avait sauté dessus : Au moins j’étais quasi persuadé qu’à la lumière j’étais en sécurité. Après m’être désinfecté et bandé ma cuisse, j’ai bien pensé à appeler la police, mais pour leur dire quoi ? Qu’un monstre me saute dessus quand je dors la nuit ? J’ai failli aussi t’appeler à ce moment-là, j’aurais peut-être dû, mais je ne voulais pas empirer davantage la situation entre nous. Il faut croire que j’avais encore un espoir qu’on puisse se remettre ensembles : Et je te rassure, si aujourd’hui je t’écris, c’est pour demander ton aide, juste ça, pas plus, juré.     Après réflexion, vu qu’à la lumière j’étais en sécurité, je suis allé acheter de gros rouleaux de chatterton, j’ai allumé toutes les lumières de l’appartement et j’ai abondement scotché les interrupteurs, je n’y étais pas allé de main morte : Ca avait marché pour ma chambre, donc je me disais que ça marcherait aussi pour le reste de l’appartement, et j’avais raison.     De nouveau je dormis paisiblement. La première nuit, j’eus des craintes, mais il ne se passa rien, cela me rassura et je m’endormis assez sereinement les nuits suivantes. Mes congés touchaient doucement à leur fin, je commençais à repenser au boulot, à notre séparation, à me dire que j’avais peut-être un peu perdu la tête avec les agressions que je subissais la nuit : Je ne leur trouvais pas d’explication, je finis par admettre un peu l’idée que tout ça puisse se passer dans ma tête. J’ai failli t’appeler le week-end pour passer te voir afin qu’on décide des dates pour aller en finir avec notre mariage : vu que tout ça me faisait perdre la boule, je voulais que ça s’arrête au plus vite. Mais je n’ai rien fait, je suis resté tranquillement chez moi tout le week-end, à attendre le lundi pour reprendre le travail. Je ne m’endormis pas trop tard le dimanche soir afin d’arriver en forme au boulot le lendemain.     Bon dieu ! Je me suis réveillé en plein milieu de la nuit dans les ténèbres, tout était noir ! Je dis que je me suis réveillé, disons plutôt que je fus réveillé par ce qui était en train de me secouer comme un prunier, je hurlais de douleur : Ca m’agrippait, comme pris dans un étaux, je sentais ses griffes rentrer dans mes épaules. Ca me secouait avec une telle violence que quand ma tête heurta le montant du lit, je crus bien m’évanouir. Le son que ça émettait, le « ggggGGGoooOOO » grave et guttural, fit place à des grognements dès que j’ai commencé à me débattre. J’ai essayé de donner des coups de pieds, mais ça me tenait par les épaules et je ne pouvais rien faire. Alors prenant appui sur mes jambes, j’ai tenté de me dégager en pivotant sur moi-même : j’ai eu très mal, les griffes m’ont littéralement déchiré les épaules quand je me suis arraché de sa prise. Je reculai vers le pied de lit, je sentis une douleur atroce me parcourir le dos, j’entendais maintenant derrière moi comme le hurlement d’un cochon qu’on égorge, j’étais complètement terrorisé. Je courus hors de la chambre, il n’y avait pas de lumière dans le couloir. Je me jetai sur l’interrupteur, mais rien ne s’alluma ! Pris de panique, entendant ce qui était derrière moi approcher, je me précipitai dans le couloir de l’immeuble, j’allumai la lumière, qui marchait : J’entendis alors comme des petits cris de chien battu venant de mon appartement. J’étais nu, dans le couloir de l’étage de mon immeuble, les épaules et le dos gravement et profondément écorchés, avec ce truc dans mon appartement qui allait me sauter dessus dès que je me retrouverais dans le noir. Comment voulais-tu que j’aille voir un voisin pour lui dire ça et demander de l’aide ? Heureusement que la moquette du couloir était sombre, car je pense que sinon les voisins auraient vu au petit matin les taches de sang que j’avais laissées. Quant à moi j’avais décidé d’attendre que le jour arrive, je m’étais caché dans la cage d’escalier de l’immeuble : Je me suis dit que les gens prennent tous l’ascenseur et que je ne serais pas surpris si je restais là. Il faisait très froid, je n’en pouvais plus. Mon sang, qui avait fini par arrêter de s’écouler au bout d’un moment, avait tacheté le sol en béton. Je gardais le doigt pressé sur l’interrupteur, craignant plus que jamais de me retrouver dans l’obscurité. Pendant tout le temps où je suis resté là à attendre, je n’arrêtais pas de me demander comment ça avait pu tout éteindre dans l’appartement, pourquoi les lumières ne s’étaient pas allumées quand j’avais essayé.     Quand j’entendis les premières personnes sortir de chez eux, cela faisait bien trois heures que j’étais dans la cage d’escalier, derrière la porte, nu, en chien de fusil, le bras tendu vers l’interrupteur pour tenir la lumière allumée. Principalement j’étais frigorifié, je tremblais de partout, et je crois bien que j’aurais fini par être en hypothermie si j’avais dû rester plus longtemps là. J’entrouvris donc la porte, jetai un oeil dans le couloir, il n’y avait personne, la porte de mon appartement était toujours ouverte, je voyais de la lumière : Je n’avais pas fermé les volets, et la lumière du jour éclairait maintenant mon appartement. Je courus jusqu’à l’entrée, ça n’avait plus l’air d’être là : je vérifiais qu’il n’y avait plus rien dans chaque pièce, attrapais ma couette au passage dans la chambre, retournais à l’entrée, fermais la porte et m’effondrais, le dos contre le mur de l’entrée. Je pleurais, j’étais épuisé, je me suis enroulé dans ma couette. Quelques minutes plus tard je m’endormais, derrière ma porte d’entrée, à même le sol, sanglotant encore.     Je me suis réveillé un peu avant midi. J’avais le dos et les épaules en feu, je n’étais évidemment pas allé travailler, n’ayant pas encore le téléphone dans cet appartement de fortune, ils n’avaient aucun moyen de me contacter du travail. Mais ce n’était pas mon travail qui me tourmentait le plus, je voulais savoir pourquoi les lumières étaient toutes éteintes cette nuit quand je fus agressé. Je devais être vraiment complètement désorienté pour ne pas avoir compris plus tôt : Le compteur d’électricité était à l’intérieur de l’appartement, mais tout près de l’entrée… et il était coupé. Je ne sais pas comment ça a fait à cause de la lumière, mais ça c’était débrouillé. Une heure plus tard, je sortais dehors pour aller acheter des bougies, j’en profitais pour appeler au boulot et demander un jour de congé car je me sentais mal, mon patron n’était pas content. Après mes achats, je revins chez moi, avec un sac rempli de bougies.     Avant que le soleil ne se couche, j’avais disposé les bougies un peu partout dans ma chambre. Leurs lumières, ajoutées à celles du plafond, emplissaient la chambre. Cela me rassurait, et même si le courant était coupé je n’aurais pas été pris au dépourvu. Malgré tout je n’arrivais pas trop à dormir.     Il était deux heures du matin, je ne dormais toujours pas. J’entendis le « clac » du disjoncteur à m’entrée, les lumières s’éteignirent : C’était là, c’était encore venu. Je ne bougeais pas de mon lit, j’avais peur et je tremblais, mais avec les bougies ce n’était que la seule pièce éclairée, je n’allais donc pas sortir de là ! Sans surprise j’entendis son grognement rauque approcher de la porte, puis ça se mit à pousser de longs rugissements caverneux, ils s’accompagnaient de sifflements comme ceux de la respiration d’un asthmatique, j’étais terrifié : Je restais emmitouflé dans ma couette, n’osant plus bouger d’un pouce. Ca n’entra pas : Progressivement les cris redevinrent grognements, à cause de la lumière des bougies ça ne pouvait pas entrer. Même si j’avais toujours peur, je me sentais mieux, plus en sécurité.     Au bout d’une demi-heure j’avais sombré dans un demi-sommeil, je poussais un petit cri de surprise quand je vis la porte de ma chambre s’entrebâiller doucement. Je vis alors passer le dossier d’une des chaises de la cuisine qui balaya les bougies près de la porte, puis le dossier battit en vain dans le vide pendant une bonne minute. Les grognements firent de nouveaux place aux longs cris graves et sifflants, j’étais encore blotti dans ma couette, d’où ne dépassaient que mes yeux, j’attendis comme cela jusqu’à six heures du matin. Ca avait encore essayé plusieurs fois de renverser d’autres bougies avec la chaise, mais toujours en vain. A six heures je m’endormais malgré sa présence derrière la porte de ma chambre : je l’entendais toujours grogner.     Je me réveillais encore une fois vers midi, je mis bien une heure pour me préparer à sortir : Même si j’avais trouvé la parade, je m’alarmais déjà à l’idée de devoir dormir bougies allumées pour toutes les nuits à venir. Je fis quelques courses, j’achetais cette fois-ci un plus grand nombre de bougies, car elles avaient toutes fini de se consumer. Puis je suis allé à reculons dans une cabine téléphonique pour appeler à mon travail : J’eus droit à de sérieuses remontrances, je me confondis en excuses pour ce deuxième jour d’absence, mais je n’avais pas le choix, il fallait que je retourne au travail le lendemain. Je rentrais chez moi, une bougie allumée à la main, la peur au ventre, tourmenté par mes absences au travail, par notre rupture, complètement apeuré et fatigué. Tu sais Marie, je crois que c’est quand ça ne va pas comme ça que la solitude est la plus pesante.     Même si ce ne fut pas de sommeil profond, je passais une nuit de repos presque complète. Au réveil, les bougies étaient toujours allumées, je n’avais pas entendu de grognements. Je suis allé manger un morceau de brioche et me fis un café, puis je suis allé prendre une douche : Je ne voulais pas être en retard pour reprendre mon travail, surtout que j’allais devoir subir les reproches de mes absences, rien que d’y penser cela me tracassait, mais de toute façon je ne pouvais pas y couper.     Je suis allé prendre une chemise dans le placard mural de la chambre après ma douche. A peine j’avais entrebâillé la porte de la penderie qu’une main osseuse, grise et griffue surgit de l’entrebâillement et me saisis au poignet. Je n’ai pas eu le temps de comprendre ce qui m’arrivait, elle me tira avec une telle force et une telle violence vers le placard que je fus comme projeté contre la porte. Le choc m’étourdit, je n’avais plus la force ni la volonté de m’échapper, et de toute façon ça ne m’a pas laissé le temps de reprendre mes esprits. La main me tira pour me projeter une seconde fois sur la porte du placard et ma tête cogna cette fois-ci sur le coin de la porte. Je ressentis une décharge de douleur au crâne, tout devint sombre, j’entendis un bourdonnement dans mes oreilles, puis ce fut les ténèbres.     Je ne pense pas être resté sans connaissance bien longtemps, tout au plus quelques secondes. Je suppose que je me suis réveillé à cause de la douleur : Je sentais ses coups de griffes me déchirer du haut du visage jusqu’au nombril, elle me labourait les chairs, la douleur était atroce, il faisait complètement noir autour de moi. Je voulus m’enfuir, je sentis la porte bouger, mais elle devait être fermée à clef car malgré mon insistance elle ne s’ouvrait pas. Sa patte fit un nouveau un passage complet de mon épaule gauche jusqu’au bas des mes côtes : je hurlais de douleur. Poussé par l’effroi je me projetais contre la porte, elle s’ouvrit en me laissant tomber sur le sol, je relevais la tête, les bougies étaient toujours là, allumées. J’avais du mal à garder les yeux ouverts car j’avais de la transpiration qui me coulait dans les yeux, je me passais alors la main sur le visage, puis l’examinai, elle était recouverte de mon sang. La douleur était atroce, je n’arrivais pas à dire où j’avais mal : tout le haut de mon corps n’était plus que douleur. Péniblement je me relevais, puis décidé à demander à l’aide je me dirigeais au dehors de mon appartement, j’avais du mal à marcher, je jetais un coup d’œil à mon ventre, il était couvert de sang, je réalisais que j’étais nu, mais je n’avais plus de forces, il fallait que je sorte. J’ouvris la porte d’entrée, je sortis en m’appuyant sur la poignée, je fis encore quelques pas en titubant dans le couloir avant de m’écrouler sur le sol. J’entendis une voix de femme dire « Oh, mon dieu », puis plus rien.     Je me suis réveillé il y a quelques heures dans cette chambre, au début je ne sentais rien à cause des anti-douleurs, mais je pense que je vais maintenant en demander en plus pour passer la nuit car je commence à avoir mal. Je me suis regardé tout à l’heure dans une glace, ils m’ont bandé une bonne partie du visage : j’ai soulevé un peu les bandes pour regarder au-dessous, et ça n’était pas beau à voir : la peau est labourée. J’ai fini par pleurer tout en éclatant de rire en me disant que mon visage devait plus tenir du steackaché que de celui d’un homme ! Mon bras gauche, mon torse, et mon ventre sont bandés, je n’ai même pas regardé, de toute façon je sais dans quel état ils sont.     Voilà donc où j’en suis depuis qu’on s’est quittés. j’ai besoin que tu viennes me tirer d’ici. Je ne vais pas...     « Monsieur Le Bail ? »     ... passer ma vie ici à bouffer leurs médic...     « Monsieur Le Bail ?     - Hmmm, heu, oui… heu… excusez-moi.     - Monsieur le Bail, il est vingt et une heure, c’est l’heure de dormir.     - Déjà ? Mais je n’ai pas fi...     - Il faut aller dormir, c’est comme ça ici, c’est pareil pour tout le monde.     - Mais ma lettre ?     - Vous la finirez demain matin, vous pouvez la laisser sur la table, il ne lui arrivera rien vous savez !     - Mais...     - Allez Monsieur Le Bail ! Et vous devez prendre vos médicaments avant.     - Mes médicaments ? j’ai juste mal...     - Ca vous calmera aussi vos douleurs, et vous dormirez mieux »     Il allait répondre, puis se ravisa, ça ne servait trop à rien de discuter avec l’infirmière, de toute évidence elle se bornait au règlement. Il se glissa dans le lit, habillé d’une de leur « robe de chambre » : un tablier en tissus, fermé à l’arrière par un nœud sur un petit cordon. Il se demanda si ça les excitait de voir ainsi les fesses des patients à nu toute la journée.     « Voilà, maintenant prenez vos médicaments »     L’infirmière tendit un gobelet au fond rempli de gélules, puis un autre repli d’eau. Il regarda l’infirmière pour lui demander s’il devait tout prendre. En voyant son regard fixé droit sur lui, il se ravisa et goba toutes les gélules puis les avala d’une rasade d’eau. Le visage de l’infirmière passa de l’agacement au sourire.     « Eh bien voilà, quand vous voulez, vous y arrivez ! »     Sans répondre, il tendit les deux gobelet vides à l’infirmière. Celle-ci les rangea sur son chariot puis le poussa jusqu’à la sortie de la chambre.     « Non ! s’il vous plait ! J’ai besoin de la lumière. »     L’ infirmière gardait son doigt sur l’interrupteur.     « Vous avez la veilleuse dans le couloir.     - Oui, mais elle ne fera pas assez de lumière dans la chambre.     - Bon, Monsieur Le Bail, vous allez dormir. Pour la lumière ce soir c’est non, vous demanderez demain matin au médecin.     - Mais...     - Allez dormez, demain vous en parlerez avec le docteur, en attendant j’éteins.     - Mais...     Elle éteignit la lumière puis sortit de la chambre sans même le regarder.     La veilleuse du couloir produisait un peu de lumière, mais une bonne partie de la chambre restait plongée dans le noir. Il s’enfouit sous les couvertures, apeuré, à l’écoute de chaque son.     Le sommeil commençait à le gagner, il luttait pour garder les yeux ouverts, il avait chaud sous les couvertures, il se sentait bien, détendu, comme dans du coton, il avait du mal à garder les yeux ouverts. Il avait chaud… il se sentait bien… il avait du mal à garder… comme dans du coton… il avait chaud… les yeux ouverts.     « Hein ! »     Il entendait distinctement le grognement juste à côté de lui. Complètement pris de panique il sauta du lit du côté opposé et se rua vers la porte, il déboula dans le couloir en hurlant :     « AU SEECCCOOOUUUURRRS ! AAAUUUU SECCCCOOOUURRRS ! IL Y A QUELQUE CHOSE DANS MA CHAMBRE ! A L’AAAAIIIDDE ! »     L’infirmière qui était passé lui donner les gélules ressortit d’une des chambres d’à côté. Une autre infirmière arriva aussi, elles accoururent vers lui.     « On se calme monsieur !     - AAA LLL’AAAAIIIIIDDE.     - MONSIEUR CALMEZ VOUS !     - JE NE VEUX PAS Y RETOURNEEEEEERRRRRR »     Les deux infirmières se regardèrent d’un air interrogateur.     « Bon, ben tu lui dis de venir ?     - D’accord.     - Je reste ici pour le surveiller en attendant. »     Il s’adossa contre un mur, épuisé.     « Ne me laissez pas dans le noir… je ne veux pas retourner dans la chambre.     - Oui oui monsieur Le Bail, calmez vous, ça va aller.     - Qui va venir ?     - Un médecin.     - Le psy de garde ? hein, c’est ça ?     - Oui, mais... heu, non... il va juste vous aider à rester cal...     - JE NE VEUX PAS RETOURNNNEEERRR DANS LA CHAAAAMMMBRRE »     Le médecin déboula par la porte battante au bout du couloir.     « ALORS ON N’ARRIVE PAS A DORMIR ?     - C’EST DANS MA CHAMBRE ! IL Y A QUELQUECHOSE ! C’EST PARCE QUE J’ETAIS DANS LE NOIR. PARCE QU...     - Monsieur calmez-vous, s’il vous pl...     - PUISQUE JE VOUS DIT QUE C’EST DANS LE NOIR, DES QU’IL Y A UN COIN SOMBRE C’EST LAAA.     - Bon allez ! on l’attache et une piqûre, il va comprendre comme ça. »     Un homme costaud qui était arrivé entre temps lui pris les bras par derrière et le maintint.     « CA VOUS ATTEND DERRIERE LA PORTE DE VOTRE CHABRE, LA OU VOUS N’AVEZ PAS DE LUMIERE ALLUMEE ! CA SE JETTERA SUR VOUS PAR SURPRISE ! VOUS VERREZ ! ... JE NE VEUX PAS RETOURNER LA DEDAAAAAANNNS !     - ALLEZ ATTACHEZ LE MOI ! »     Le psychiatre de garde, visiblement fatigué et énervé prêta main forte au gros bras qui le tenait toujours fermement. A eux deux, ils le traînèrent jusqu’à sa chambre. Ils le plaquèrent sur le lit pendant que les infirmières scellaient les attaches métalliques aux poignets et aux chevilles.     « Allez ! maintenant on dort !     - NOOOOONNNNN, NE ME LAISSEZ PAS LAAAAAAA ! »     l’infirmière sans prêter attention à ses cris et sans un regard lui fit l’injection dans son bras.     « Avec cette dose au moins il va dormir, c’est sûr. »     Ils éteignirent la lumière puis sortirent sans un regard dans sa direction.     « A L’AAAAAAIIIIIIIIIIIDDDDDEEEEE ! LAISSEZ-MOI SORTIR D’ICIIIIIIIIII ! AAAAUUUU SSSSSEEEEEECCCCCCooooooooOOUuuUrrrs, Aaiiiddeeez mm mm mmoi à sort… à sort… à sortiiir d’iciii... A l’aiddde… au… au secours... sss... sss... sss’il vous.... ppp... pplaaaiiitt... j... Je... vous... en... en... sup... p... ppp... llll... plll... ...  pl... ... ... pl... ... ... ... »
 


 
 
posté le 14-07-2013 à 10:48:57

La confiture

Un vieu monsieur qui habite seul dans une maisonnette qui s'en va acheter de la confiture maison sur un marché.En rentrant avec  3 ou 4  pot, il les place dans son armoire. Le lendemain matin il veut gouter ces fameuses confitures et ouvre son placard la le placard et vide et a la place des pot il trouve une tache qu'il croit tout dabord étre de la confiture donc trempe son doigth dedans pour en découvrir quand méme le gout mais il se revéle que  se n'est pas de la confiture mais du sang.Le vieille homme décide alors d'humidifier un chiffon pour nétoyé son armoire. En ouvrant le robinet l'eau qui s'écoula était de couleur bordeau en réalité s'était du sang. Le vieille homme avait l'habitude car cette maison il l'avait acheté contre trois fois rien car les ancien propriétaire voulé sans débarassé a cause de ses fénoménes. Il décida donc de placé de la farine dans son armoire et de mettre d'autre pot de confiture pour voir si cela recommencé (la farine pour voire si "la chose" laisseré des trace ou pas).Et le lendemain matin rebelotte il décida d'appelle enfin la police car il commencé quand méme a paniqué.Quand la police arriva a la maison il y avait du sang partout sur les murs et le corp de l'homme gisé sur le sol dans le placard les taches de sang sur la farine formé une phrase: LA CONFITURE A LA FARINE CETAIT PAS UNE BONNE IDEE SA NE MA PAS PLUT TANPIS POUR VOUS VOUS LAUREZ MERITEZ. La police na jamais trouvé de coupable et on fait rasé la maison et dans les murs ils ont découvert le corps du femme qui aprés otopsie avait révélé qu'elle avait été tué par l'ancien propriétaire qui c'est fait arrété et condamné a mort Cette histoires ces passé en amérique il y a déja trés longtemps

 


 
 
posté le 13-07-2013 à 20:02:36

les classiques

Une petite fille de sept se balade en ville avec sa mère. En passant devant une boutique, elle voit une poupée qu'elle trouve très belle, et dit à sa mère qu'elle la veut à tout prix. Sa mère lui répond qu'il se fait tard et qu'elles reviendront demain pour l'acheter. Le lendemain, la petite fille a completement oubliée sa poupée et quand le soir arrive elle se couche tranquillement et s'endort. Mais au bout d'un moment elle entend des droles de bruits dans l'escalier. Elle va réveiller sa mère, mais celle ci lui dit qu'elle a sans doute faire un cauchement, alors la petite fille retourne se coucher. Le lendemain, la mère se lève et descend dans la cuisine. Elle constate que sa fille n'est pas encore levée, alors que d'habitude c'est elle qui se léve en premier. Elle monte donc dans sa chambre, et trouve sa fille dans son lit, poignardé, et à côté d'elle, la poupée qu'elle avait réclamé deux jours plus tôt. Morale de cette histoire, n'oubliait jamais une poupée, car elle ne vous oubliera pas.

 


 
 
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